“Ce terme a réapparu aux États-Unis lors de la naissance du mouvement Black Lives Matter en 2014, en tant que slogan pour encourager la vigilance et l'activisme face à la discrimination raciale et à d'autres inégalités sociales telles que les discriminations vis-à-vis de la communauté LGBT, des immigrés et d’autres populations marginalisées.” (sic)
En provenance directe des États-Unis, parfois en transit via son alliée la Grande Bretagne, nous avons hérité d'ingrédients qui ont modifié notre mode de vie et qui nous éloignent peu à peu de notre propre histoire.
Est-ce le fait que les américains, qui ne peuvent prétendre à revendiquer des origines autres que celles d’avoir posé le pied sur des territoires qui n’étaient pas les leurs et de les avoir occupés après en avoir dépossédé leurs habitants, œuvrent pour que les peuples européens se dégagent peu à peu de leurs propres origines ?
Dans tous les cas, cet état d’âme repose sur un modèle unique, universel, qu’ils répandent sur la planète.
Pour ce qui est de la France, notre langue se trouve américanisée par un nombre hallucinant de mots, termes et expressions qui ont remplacé notre vocabulaire original et historique.
La mode vestimentaire de la jeunesse française a rallié la mode américaine de la rue.
Les surfaces de vente sur modèle américain pullulent en France pour nous gaver de tout produit qui peut être vendu.
Alors que la cuisine française représente la qualité maîtresse dans le monde, les fossoyeurs américains de la nutrition ont développé leurs comptoirs de restauration immonde sur tout le territoire français.
Nos dirigeants d’entreprises ont adopté la méthode américaine consistant à presser les employés jusqu’à l’asphyxie pour obtenir des bénéfices extravagants. Le "Big Business".
On peut aussi parler des "sons" qui nous arrivent de là-bas. Entrant dans la catégorie musique (...) les rap, hip-hop et autres tsoin-tsoin de la rue occupent une place indigeste sur les chaînes radio et tv.
La liste en développement des ingrédients propres au modèle américain ne cesse de s'allonger d'année en année, de mois en mois, avec l’appui de nos gouvernements.
Elle a intégré ces toutes dernières années une autre partie de notre existence : la conception des différences, son interprétation et sa propagation fantoche.
Ainsi la "Culture Woke" est née aux États-Unis, suite aux problèmes graves sur fond de racisme que les américains ont engendrés depuis des siècles.
Mouvement idéologique lié à la justice sociale et à l’égalité raciale, la "Culture Woke" s’est développée d’une telle façon aux États-Unis qu’elle a bouleversé les us et coutumes de leur civilisation.
Tout acte, tout écrit ou toute pensée qui fait part de tel ou tel évènement positif concernant exclusivement la race blanche est prohibé, sous peine de sanctions encourues en cas d’atteinte à cette idéologie.
L'histoire refait surface aux États-Unis, la ségrégation ayant été et étant encore une ignominie absolue aux États-Unis, comme ailleurs dans le monde.
Néanmoins, on peut être interloqué alors que cette "Culture Woke" a fait son apparition en Europe et qu’elle touche pleinement la France, plébiscitée par le gouvernement français, ce qui nous place dans la même situation que les américains vis-à-vis d’une ségrégation commanditée qui n’a jamais existé en France.
Il semble donc aujourd’hui d’actualité de revendiquer notre droit de citoyen français, à ne pas nous soumettre à une idéologie militante prônant la soumission à une culture dans laquelle nos origines n'ont pas leur place.
Notre indignation a atteint son point culminant face aux élucubrations du gouvernement français dans cette affaire.