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La philosophie d'origine asiatique des 3 singes qui ne veulent rien dire, rien voir ni rien entendre n'est pas compatible avec le monde dans lequel nous vivons. Au contraire, toute vérité doit être dite, vue et entendue pour servir les générations qui se succèdent.

Publié le par Tom Alaka
Publié dans : #Regard sur le monde

Après la culture Woke qui nous est arrivée récemment des États-Unis, voilà maintenant qu’arrive une nouvelle menace, « l’Eye Rape », en français « Le viol par le regard ».

Oui, vous avez bien lu, aux États-Unis une femme peut s’estimer être violée lorsqu’un homme la regarde.

Le droit des femmes il ne faut pas prendre cela à la légère, leurs revendications étant très souvent légitimes. Mais lorsqu’une telle atteinte envers la femme engendre une loi qui peut donner naissance à d'innombrables débordements, il y a de quoi rester coi !

Quoi que d’où cela soit sorti, rien n’étonne. Nous savons en effet que beaucoup de choses qui pourrissent notre vie en France et ailleurs ont pris naissance par là-bas. Cet « Eye Rape » va donc s’ajouter à cette triste liste en arrivant chez nous.

Et pour imaginer les conséquences de cette nouvelle menace grotesque, inénarrable, absurde, aberrante made in USA, prenons un exemple.

Je suis assis dans un restaurant à Los Angeles, agréablement accompagné. Assise à une table un peu plus loin se trouve une femme, quelconque, moins bien accompagnée, tant pis pour elle.

En regardant le menu, mon regard dérape furtivement vers cette femme, qui au même moment regarde de mon côté. Nos regards se croisent. Une seconde seulement, mais elle s’en rend compte. Ça y est, je m’aperçois qu’elle n’est pas contente du tout, c’est la merde !

Je l’aperçois appeler le patron auquel elle semble lui faire part du viol qu’elle aurait subi de ma part. Lorsque je le vois au téléphone, je le soupçonne d’appeler la police en bon américain qui connaît par cœur les centaines de lois de son pays.

Et effectivement, la police arrive cinq minutes plus tard pour nous auditionner la femme violée et moi-même le violeur présumé.

Et il faut établir un constat. Les policiers nous interrogent, et comme il y a une femme parmi eux, ça craint grave. Il ne faut surtout pas que je la regarde lorsqu’elle s’adresse à moi. Une femme-flic violée, le risque est terrible. Donc je regarde ailleurs. Mais comme il y a l’autre que j’aurais violée à côté de nous, je ne sais plus où mettre mes yeux. Deux viols consécutifs sur la même personne, ça craint encore plus grave. De plus, la serveuse est venue vers moi en me demandant de payer l’addition avant de me faire embarquer. Alors je la paie sans la regarder.

Tout cela me met très mal à l’aise, surtout vis-à-vis de la personne avec laquelle je partageai mon repas, qui pense avoir été trompée par un violeur et qui le transperce de son regard. Tiens ... Ça me donne une idée.

Pourquoi ne dirais-je pas aux policiers-mâles qu’en réalité c’est l’autre qui m’a regardé et qui m’a violé ? Quelle preuve a-t-elle pour asseoir sa plainte ? Moi, j’ai des preuves. Je ne suis pas laid, et je suis accompagné par une femme charmante, en l’occurrence et autre ma compagne. Alors que l’autre n’est pas vraiment jolie-jolie et que de plus elle est accompagnée par une sorte de Quasimodo. Donc qui aurait vraiment regardé l’autre, hein ?

Après une brève étude de mes arguments, les policiers prennent fait et cause pour moi (même la policière ...) et ils embarquent la femme violeuse avec son Quasimodo mécontent.

Cet exemple est offert à certaines femmes américaines et certaines autres bientôt. Des femmes dites violées par un simple regard complètement désintéressé, et qui en font tout un plat pour moins que rien, par simple schizophrénie. Il est aussi dédié aux faiseurs de ce genre de loi de merde qui déshumanise la tolérance dans notre société.

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