Vera Jourova, sous-fifre d’Ursula von der Leyen, s’est dite offensée par la campagne anti-européenne de la Hongrie qui, par son président, refuse de donner son accord sur certaines décisions prises par la commission européenne.
Nous, français libres d’analyser et de penser, sommes hilarants après avoir appris cette nouvelle ânerie de la part d’un membre de la direction de l’U.E.
Une ânerie qui en suit d’autres, comme elle en précédera d’autres.
Exemple, vouloir attribuer 50 milliards d’euros à l’Ukraine, après toutes les aides déjà versées en monnaie sonnante comme en armement à un pays gangréné par la corruption.
Exemple, avoir versé des millions d’euros à la Palestine, avant le conflit en cours, sachant que ce territoire était dirigé par le Hamas, une organisation terroriste.
Exemple, briser des lois inhérentes à chaque pays membre par des lois européennes inadaptées fragilisant ces pays.
Exemple, avoir reporté - sans date, la révision du règlement sur les produits chimiques dangereux et avoir rejeté le règlement sur la réduction des pesticides, ce qui est dramatique pour le climat.
Exemple, avoir fait entrer dans l’U.E. des pays qui ne pouvaient en aucune façon retrouver une stabilité économique : la Grèce, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie, la Croatie. Ce qui est le cas et ce qui crée des inégalités dans cette union illusoire.
Exemple, vouloir faire entrer dans l’U.E. des pays pauvres : la Moldavie, l’Ukraine, la Bosnie-Herzégovine, l’Albanie, la Géorgie, la Macédoine du nord, ce qui va créer encore plus d’inégalités.
Exemple, ne pas avoir régulé les flux migratoires, qui ont engendré les résultats catastrophiques que l’on connaît.
Exemple, commettre des irrégularités dans l’utilisation du budget de l’U.E. comme le rapporte la Cour des Comptes qui pour une fois ne les a pas ratés.
Toutes ces âneries, gravissimes sur une échelle de valeurs, ne risquent pas de changer l’appréciation que beaucoup d’européens ont sur l’union européenne et les dirigeants des pays membres qui la soutiennent : zéro pointé !
Ce n’est ni de la désinformation, ni de l’ingérence étrangère, ni un deepfake, qualificatifs régulièrement employés par l’U.E. pour dénoncer ceux qui ne les reconnaissent pas dans leurs fonctions.
Notre pléonasme : ce n’est que « la vérité vraie vécue » …