Représentant environ 80% de la masse étudiante dans des universités comme Sciences-Po, la Sorbonne, Paris 8, Nanterre et autres … les étudiants révolutionnaires sèment le chaos.
Ce n'est pas nouveau, car ils y développent les vieilles doctrines de mai 68 par l’organisation de conférences, sittings, grèves, blocus, en parfaite adéquation avec les dogmes de la gauche, ancrée dans le monde universitaire en général.
Tout sujet est bon à mettre sur la table : la mauvaise histoire de France, le mauvais examen, le mauvais professeur, la mauvaise retraite, la mauvaise religion, la mauvaise droite, le capital…
Pendant ce temps les étudiants qui ne sont là que pour étudier ont de plus en plus de difficultés à suivre leurs cours, et plus grave encore sont souvent pris à partie pour le simple fait de ne pas partager une idéologie ou d'avoir une religion fétide.
La manipulation de ces jeunes par divers partis et syndicats de gauche, radicale ou non, est connue et ne date pas d'hier. Pourtant beaucoup d’entre eux n’entrent pas dans ces universités munis d’une idéologie rétrograde, mais ils y accèdent ensuite poussés par leurs éducateurs.
A un tel niveau d’études ne serait-il pas logique de penser que l'on peut choisir sa voie en toute indépendance sans aucune pression ?
S’il s’avère que non alors le constat est effarent, car 80% de la masse étudiante sabordant ces universités, il apparaît donc que ces individus n’ont aucune aptitude à vivre dans un monde de concurrence basé sur la créativité de chacun, ce qui semble assombrir sérieusement l’horizon.
Si l’on ajoute à cette situation révolutionnaire la position irresponsable - ou responsable, des présidents de ces universités et celle du gouvernement, le développement du wokisme et la pensée islamique qui y est infiltrée, alors l’horizon n’apparaît plus.
Pour sortir de cette situation, une solution serait d’y instaurer une méthode beaucoup plus radicale : un véritable régime communiste totalitaire ...