Bientôt … si un départ n’a pas lieu.
Car surchauffée par tous les maux d’aujourd’hui, la capitale française est en plein déclin à la suite d’une gestion catastrophique d’Anne Hidalgo.
Plus rien ne va dans Paris. En dix années de règne, la saleté a remplacé sa propreté, la laideur a remplacé sa beauté, l’insécurité a remplacé sa quiétude, l’associatif a remplacé l’autonomie.
Le déclin de Paris s’était déjà profilé avec son prédécesseur à la mairie Bertrand Delanoë, mais il n’avait jamais atteint un tel degré d’intensité.
Les parisiens qui ne partagent pas l'idéologie d’Anne Hidalgo n’aiment plus leur ville, décontenancés par des décisions qui ont honteusement modifié son identité.
Mais la maire n'en a que faire, n'écoutant qu'elle-même en imposant son savoir-ne-rien-faire au travers de ses frasques lors de communications avec sa garde rapprochée.
La dernière en date ne manque d'ailleurs pas d’originalité de sa part.
Ses paroles ont été d’une très grande qualité littéraire : « ras le bol … ras le bol à tous ces peine à jouir qui ont pas du tout envie que on puisse célébrer quelque chose ensemble ».
Parlait-elle des pauvres êtres atteints de cette déficience, de certains autres parmi ceux et celles qui la vénèrent, ou d'un mal qui pourrait la ronger ?
Grâce à sa personnalité, la maire « bobo-socialo-peine à satisfaire » nous fait vivre dans l’espoir de la voir rapidement chanter un jour devant la mairie de Paris : « je suis venu te dire que je m’en vais … »