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La philosophie d'origine asiatique des 3 singes qui ne veulent rien dire, rien voir ni rien entendre n'est pas compatible avec le monde dans lequel nous vivons. Au contraire, toute vérité doit être dite, vue et entendue pour servir les générations qui se succèdent.

Publié le par Daphné
Publié dans : #Regard sur le monde

Les réseaux sociaux, parasites du monde humain

Plébiscités dans le monde entier par les jeunes et les moins jeunes, les réseaux sociaux déshumanisent l’être humain. Aussi néfastes que le tabac et l’alcool, ils génèrent une dépendance à une activité ou à une substance, avec des conséquences néfastes sur la santé des utilisateurs. Ce sont des fourre-tout dans lesquels on jette tout sur sa personne, et sur les autres. Les réseaux sociaux n’ont pas cessé de se développer et de se multiplier, au grand dam de ses détracteurs, et malgré tous les scandales et procès qui les éclaboussent.

- Le plus connu : FACEBOOK - Dis-moi qui tu es, je te dirai qui je suis.

A l’origine, Mark Zuckerberg avait piraté en octobre 2003, depuis sa chambre d’étudiant, plusieurs sites aguicheurs appartenant à des fraternités de Harvard. Ainsi, il avait récupéré des photos d’étudiantes pour alimenter rapidement Facemash, son premier projet avant Facebook. Les scandales et procès ont eu lieu par la suite, dont les principaux suivent.

En juin 2013, grâce aux révélations d'Edward Snowden, des documents exposaient aux yeux de l’opinion mondiale la plus grande opération d’écoute et de surveillance de masse dans l’histoire de l’humanité. Facebook, aux serveurs duquel la NSA pouvait accéder à n’importe quel moment, s’est trouvé au cœur d’un vaste dispositif d’espionnage.

Début 2014, avec l’autorisation spéciale de Facebook pour une étude prétendument scientifique conduite par une start-up créée par un chercheur de Cambridge, 50 à 60 millions de ses comptes avaient été illégalement siphonnés en 2 à 3 mois. Le 23 décembre 2022, il acceptait de payer 725 millions de dollars afin de mettre fin à un long procès pour avoir laissé un tiers accéder aux données privées de 87 millions de ses utilisateurs.

Le 13 aout 2019, Facebook reconnaissait avoir écouté et retranscrit des conversations privées tenues via Messenger afin d'améliorer le ciblage publicitaire. Mark Zuckerberg avait pourtant affirmé ne pas le faire lors d'une audition devant le congrès en avril 2018.

En décembre 2020, deux plaintes ont été déposées aux États-Unis par la Federal Trade Commission et près de 50 états américains contre Facebook, qui est accusé de maintenir une position dominante sur le marché avec ses rachats d’Instagram et WhatsAp.

En octobre 2023, Meta, la société mère d’Instagram et de Facebook, est face à une vague de poursuites judiciaires de la part de 41 États américains et du district de Columbia, qui l’accusent de contribuer à une crise de santé mentale chez les jeunes en concevant des fonctionnalités addictives sur ses plateformes sociales.

En décembre 2023, le procureur général de l’état du Nouveau-Mexique a déposé plainte contre  Meta, l’accusant de transformer ses plateformes Facebook et Instagram en une place de marché pour les prédateurs à la recherche d’enfants, et de recommander des contenus sexuels aux enfants par les algorithmes.

- Celui qui l’a rejoint (normal, même maison) : INSTAGRAM - La rencontre de la bêtise et de la vénalité.

En septembre 2022, le réseau social Instagram, de la même famille que  Facebook, s’est vu infliger une amende record de 405 millions d’euros pour des manquements au traitement des données des mineurs.

En octobre 2023, des dizaines d'états américains poursuivent Meta et son unité Instagram, les accusant d'alimenter une crise de santé mentale chez les jeunes en rendant leurs plateformes de médias sociaux addictives et compulsives.

- Et celui qui s’y colle : TIK TOK - La culture du vide.

Durant des mois après sa création, ce réseau social chinois est attaqué dans plusieurs pays sur le terrain de la protection des mineurs. Et il fera l'objet de centaines d'actions en justice intentées au nom d'enfants et de districts scolaires pour dénoncer le caractère addictif des médias sociaux.

Il y en a d’autres, mais inutile de créer plus de doublons pour ce qui est des détails …

Tous ces scandales et procès ne font qu’effleurer la santé économique des réseaux sociaux. Car d’une part leurs propriétaires paient les amendes drastiques qu’on leur inflige grâce à une trésorerie effarante. Et d‘autre part plus de 4 milliards d’utilisateurs ne peuvent pas s’en passer et leur restent fidèles :

«C’est quoi ton surnom ?» «Qu’est-ce que tu manges le soir ?» «Toi, t’es canon !»

  «Tu vois mon poisson ?» «Super tes cheveux bleus !» «Hé, j’ai changé de jean»

«J’ai maigri de 150g en 5 jours»  «Demain ? Non, je vais me faire tatouer Louane»

«Ça va mes nouvelles lèvres ?»  «J’ai 3573 followers !» « Une tuerie ta culotte !»

    etc ................

Pourquoi changer la trame d'une activité alors qu'elle fonctionne ? ...

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Publié le par Tom Alaka
Publié dans : #Regard sur le monde

Ceci est un Caterpillar 994A.

Il brûle environ 1000 litres de carburant en 2 heures, et déplace environ 250 tonnes de saleté pour extraire les matériaux nécessaires à la production d'une seule batterie Tesla.

Pour la fabriquer, il faut traiter 15 tonnes de minerai pour le cobalt, 12 tonnes de saumure pour le lithium, 12 tonnes de minerai pour le cuivre, 3 tonnes de minerai pour le nickel, et déplacer environ 250 tonnes de la croûte terrestre.

Ceci pour une batterie Tesla qui comporte environ 100 kg de cuivre, 30 kg de nickel, 22 kg de manganèse, 15 kg de cobalt, 12 kg de lithium, et 200 kg d'aluminium, d'acier et de plastique, ce qui donne un poids d’environ 400 kg pour une batterie.

Que de conséquences désastreuses !

Pour extraire du cuivre, une quantité phénoménale d’eau est utilisée et contaminée par les mêmes polluants que les eaux de lessivage. Cela crée aussi une grande variété de polluants atmosphériques. Une exposition au cuivre à long terme est dangereuse, et provoque une irritation au nez, à la bouche et aux yeux, des maux de tête, des maux d'estomac, des vertiges, des vomissements.

L’extraction du nickel provoque une double déforestation et entraîne une destruction méthodique de la vie terrestre et marine par une stérilisation totale des sols. L’inhalation du nickel augmente le risque de cancer du poumon et de la cavité nasale.

L’extraction du manganèse provoque une pollution physique et chimique des écosystèmes adjacents. Elle peut provoquer une intoxication chronique chez les personnes ayant inhalé trop de fumées et de  poussières du minerai.

L’extraction du cobalt nécessite l’utilisation intensive de produits chimiques ayant un impact environnemental. Il peut être cancérogène pour l’homme après une exposition par inhalation.

L’extraction du lithium, très énergivore en eau, génère une pollution des sols et un pillage des réserves d’eau. Il occasionne des brûlures de la peau, des effets néfastes sur certains organes en cas d'ingestion, d'inhalation ou de contact cutané, des lésions oculaires graves, une allergie cutanée.

Quand au recyclage des batteries, il nécessite l’extraction de tous ces métaux précieux un par un, en suivant un processus devant utiliser des machines qui doivent y être adaptées, et crée de nouveau des problèmes de santé.

Il faut ajouter à cela la situation humanitaire qui se développe gravement dans les pays où existent les minerais, où des populations entières sont déplacées ou touchées par des maladies, là où s’installent les sociétés qui les extraient, parfois illégalement.

La production globale des batteries qui équipent et vont équiper toute Tesla et tous autres véhicules électriques, nous amène à un constat alarmant sur ceux qui nous gouvernent et qui sont dans le déni, retranchés derrière leur politique mensongère sur le bien fondé du tout électrique.

Quant aux élucubrations des pantins à leur solde qui rejettent ces informations, nous leur conseillons d’aller voir sur place l’état et le fonctionnement des chantiers miniers créés pour la production de ces batteries.

Et plus particulièrement dans certains pays d’Afrique, d’Asie, et d’Amérique du Sud, là où l’occupation des sols et la main d’œuvre sont « très bon marché » voire « gratuits ».

Ceci est une automobile Tesla.

Fonctionnant exclusivement à l’électricité grâce à sa batterie, la Tesla se choisit, se commande et se paie sur leur site au travers de son Smartphone. Elle s’auto-conduit, Tesla appelant cela « l’Autopilot ». Le conducteur n’est plus seul maître à bord : l’accélération et le freinage (pour détections diverses) étant automatiques, ainsi que la conduite sur les routes et voies empruntées, la correction de trajectoire, la circulation dans les parkings, les créneaux. Si vous oubliez de dire à votre auto où vous allez, pas de soucis, elle consultera vote agenda et vous conduira là où vous devez aller. Une fois garée (par elle-même), appelez-la par votre Smartphone et elle viendra vous chercher. On peut même programmer le chauffage de l’habitacle la veille sur son Smartphone, pour être bien au chaud le lendemain matin. Internet et Streaming à bord indispensables. Il existe même des options qui sont obtenues grâce à des points de fidélité. Ce qui est surprenant dans tout cela, c’est que Tesla signale que leur système exige une surveillance active de la part du conducteur (…) et qu’il a été conçu pour parcourir de longues et de courtes distances sans que vous n'ayez à intervenir à aucun moment (…). On voit bien l’intérêt d’acquérir cet ordinateur roulant ... Ah, il y a une cerise sur le gâteau : on peut faire chanter et danser sa Tesla à son gré : il suffit de choisir une chanson et les lumières clignotent et reclignotent, les portes s’ouvrent et se ferment et se rouvrent et se referment. Génial !

Que demande de plus le peuple imbécile ?

Ces derniers jours le constructeur américain a rappelé en Chine 1,6 million de véhicules afin de mettre à jour un logiciel qui présentait des « risques pour la sécurité ». En décembre 2023, il est contraint de rappeler 2 millions de voitures aux USA et au Canada à cause d’un « risque de collision lié à l'Autopilot ». En février 2023, il rappelle plus de 360 000 véhicules aux USA, leur logiciel de conduite autonome présentant des « problèmes de sécurité ». En 2022 il avait dû procéder à plusieurs rappels aux USA pour « désactiver une fonction de son logiciel », et en novembre 81 000 voitures ont été rappelées en Chine pour un « problème de logiciel » et une « anomalie sur les ceintures de sécurité ». En juillet de cette même année, une étude publiée par J.D. Power révèle que les voitures Tesla ont enregistré une hausse significative des problèmes techniques en plus par rapport à l’année précédente. La liste est longue …

On reste au volant de son véhicule et on gère sa conduite, ou on laisse l’intelligence artificielle prendre le volant et faire des conneries ?

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