Neuf délinquants ont été arrêtés par la police après leur attaque meurtrière lors d’une fête dans le village de Crepol.
Ils sont français, issus de l'immigration, c'est un fait établi.
Ils font partie de délinquants qui représentent environ 60% de cette population.
Une population dans laquelle les enfants sont de 3 à 4 fois plus susceptibles d’être impliqués dans des délits que ceux issus de familles autochtones.
Une population qui représente entre 40 et 60% des occupants des prisons.
Mais il est illogique d’utiliser les prénoms de ces délinquants pour dénoncer leurs délits et leurs crimes au nom d’une quelconque origine, car un prénom ne génère pas un délinquant.
Les délits et crimes commis par un Farid ou un Kevin ne peuvent pas faire ressortir des statistiques impliquant une origine, alors que ceux commis par des délinquants français issus de l’immigration ressortent officiellement … ou officieusement.
Le constat sur l’affaire de Crepol est alarmant. Il s’ajoute aux affaires précédentes, ce qui présente l’état comme étant incapable de résoudre les graves problèmes liés à la délinquance issue de l’immigration.
Quant à certains idéologues qui sont dans le déni en affirmant que la misère ou la pauvreté en est responsable, ils devraient aller chercher des informations sur l’économie souterraine de certains quartiers, certaines villes ou certains départements. Et ils verront par exemple, que la Seine-Saint-Denis est le 2e département le plus riche de France grâce à son économie souterraine (drogue, vols …).
Tous ces délinquants, insoumis dans une France qu’ils mettent à feu et à sang,
n’ont pas leur place au sein d’une population qui vivait paisiblement
avant qu’on la confronte à « une mixité nécessaire au pays ».