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La philosophie d'origine asiatique des 3 singes qui ne veulent rien dire, rien voir ni rien entendre n'est pas compatible avec le monde dans lequel nous vivons. Au contraire, toute vérité doit être dite, vue et entendue pour servir les générations qui se succèdent.

Publié le par Daphné
Publié dans : #Regard sur le monde

 

Bientôt … si un départ n’a pas lieu.

Car surchauffée par tous les maux d’aujourd’hui, la capitale française est en plein déclin à la suite d’une gestion catastrophique d’Anne Hidalgo.

Plus rien ne va dans Paris. En dix années de règne, la saleté a remplacé sa propreté, la laideur a remplacé sa beauté, l’insécurité a remplacé sa quiétude, l’associatif a remplacé l’autonomie.

Le déclin de Paris s’était déjà profilé avec son prédécesseur à la mairie Bertrand Delanoë, mais il n’avait jamais atteint un tel degré d’intensité.

Les parisiens qui ne partagent pas l'idéologie d’Anne Hidalgo n’aiment plus leur ville, décontenancés par des décisions qui ont honteusement modifié son identité.

Mais la maire n'en a que faire, n'écoutant qu'elle-même en imposant son savoir-ne-rien-faire au travers de ses frasques lors de communications avec sa garde rapprochée.

La dernière en date ne manque d'ailleurs pas d’originalité de sa part.

Ses paroles ont été d’une très grande qualité littéraire : « ras le bol … ras le bol à tous ces peine à jouir qui ont pas du tout envie que on puisse célébrer quelque chose ensemble ».

Parlait-elle des pauvres êtres atteints de cette déficience, de certains autres parmi ceux et celles qui la vénèrent, ou d'un mal qui pourrait la ronger ?

Grâce à sa personnalité, la maire « bobo-socialo-peine à satisfaire » nous fait vivre dans l’espoir de la voir rapidement chanter un jour devant la mairie de Paris : « je suis venu te dire que je m’en vais … »

 

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Publié le par Tom Alaka
Publié dans : #Regard sur le monde

Ouverture du festival de Cannes le mardi 14 mai : copie conforme …

A l’extérieur, interviews des acteurs, actrices et réalisateurs. Des célébrités en plein trouble de la personnalité narcissique. Rien ne change,  chansons de gestes décalés souvent agaçants, entremêlés par des discours emprunts d’égocentrisme, parfois d’arrogance, parfois d’un comique irrationnel.

Sur le tapis rouge, de circonstance malgré les comptes en banque des uns et des autres, les domestiques placent d’abord le jury - exceptionnel chaque année (…) face aux paparazzis, puis les dirigent vers le côté droit, le côté gauche, le côté d’en face, celui de derrière, ceci afin que le monde entier puisse les étudier sous toutes leurs formes, qu’elles soient apparentes ou non.

Ensuite les domestiques y placent des groupes les uns après les autres. Un groupe de célébrités ou de « pas-encore-célèbres-mais-qui-vont-peut-être-le-devenir » correspond à un film au programme et comprend un réalisateur, des acteurs et actrices, parfois même un « on ne sait qui » invité là pour faire du volume.

Ensuite, ça se passe à l’intérieur de la demeure, là où se trouve le péril.

Une présentatrice est au micro devant des centaines de personnes connues, et d’autres qui sont inconnues. Elle est actrice, alors elle s’exprime avec enchantement sur le sujet du jour : que faisons-nous ici ?

Puis elle présente, cette fois-ci avec éblouissement, les membres du jury qui comme on le sait sont élus par le délégué général du festival, ainsi ça ne sort pas de la demeure. Une chanteuse, choisie pour la circonstance … agrémente le moment.

Ensuite, elle offre la parole à une copine présente, actrice elle aussi, qui parle, pleure, parle encore (c’est son métier) en remettant un joli cadeau à une autre actrice, qui elle-même ne va pas manquer de dire quelques milliers de mots sur la scène d’une demeure qui ne nous fait pas rire, ni pleurer, mais beaucoup penser …

A l’inverse de ceux et celles présents durant 12 jours, satisfaits de la bonne conduite qu’ils se donnent à eux-mêmes en clamant « oh » et « ah » lors de la projection d’un film. 

Quant à la partie financière du festival, si l’on en croit les conseils régionaux, le budget lui étant alloué serait de 20 millions d’euros. Le ministère de la culture paierait pour la moitié du montant, les annonceurs pour l’autre moitié. Si l’on en croit toujours ces mêmes conseils, les retombées économiques pour Cannes et sa région représenteraient plus de trois fois le budget alloué.

Sur ces données, nous recommandons aux gestionnaires de l’argent public d’organiser ce festival plusieurs fois par an dans toutes les grandes villes françaises, ça permettra de renflouer les caisses de l’état qui n’ont pas un très bel aspect …

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