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Les journaux télévisés d’information n’étaient déjà pas très intéressants à suivre pour ce qui est de la qualité des présentateurs et des présentatrices ainsi que des sujets traités et de la teneur de l’information, mais depuis le développement de l’information en continu nous ne sommes plus sceptiques en ce qui les concerne !

En effet, une fois le sujet d’actualité abordé avec des détails majoritairement futiles voire insipides, les pourvoyeurs et pourvoyeuses de la langue française ne devraient rien avoir à ajouter, mais ce n’est hélas pas le cas.

Bien au contraire, ces personnes nous resservent les mêmes plats tout au long de la journée, en y ajoutant un petit ingrédient indigeste par-ci, un autre petit ingrédient indigeste par- là, aidés par un nombre incalculable d’invités pour la circonstance.

Ces derniers ne sont en réalité présents que pour doubler et tripler les nouvelles, qui n’en sont plus depuis les dernières 48 heures, et pour faire part de leur état d’âme sur le sujet traité, ce dont nous n’avons que faire.

De nos jours, nul besoin de passer par une école professionnelle de journalisme pour informer, il suffit de bien connaître un responsable de chaîne, et savoir lire les messages disposés sur son bureau, sur son Smartphone ou sur le téléscripteur.

Quant aux poseurs d’infos sur les bandeaux de bas d’écran, ils ne sont probablement pas passés par une quelconque école, les fautes de grammaire et d’orthographe recensées en sont la preuve.

Les journaux télévisés d’information ?

Ils ne rehaussent pas le niveau culturel de la télé …

Chaque année en juillet aux iles Féroé, des centaines de dauphins sont sauvagement massacrés par adultes et enfants au nom d’un rite ancestral. Ce n’est pas surprenant, les îles Féroé sont rattachées au Danemark, un pays qui n’a jamais œuvré pour la cause animale.

Chaque année, en France comme en Espagne, des taureaux sont torturés puis mis à mort par des pantins multicolores, pour une même raison ancestrale. Les autorités se réfugient derrière la bannière d’une tradition qui ne peut être supprimée.

Chaque année en septembre, dans la ville espagnole de Torsedesillas, des centaines de personnes armés de lances et de couteaux courent derrière des taureaux jusqu’à les achever ensuite, au nom d’une tradition rendant hommage à … la vierge Marie. En Espagne on prie beaucoup, mais on organise des massacres d’animaux.

Chaque année en juin en Chine, des milliers de chiens et de chats sont tués après des jours de souffrance en captivité, pour les besoins d’un festival où il est coutumier d’en manger. Cette tradition n’est donc pas surprenante en Chine, où l’on mange de tout.

Ce n'est là qu'une infime dénonciation de la maltraitance des animaux, et des gens ne comprennent pas pourquoi ces horreurs existent encore de nos jours. Pourtant l’explication est simple : le monde s’est perdu dans les méandres de son histoire.

A la Préhistoire les humains tuaient les animaux pour se nourrir et se vêtir, c’était un besoin vital pour leur survie.

Depuis l’Antiquité jusqu’à ce jour des humanoïdes tuent des animaux pour se divertir, c’est un besoin vital pour leur existence.

Rien ne peut modifier leurs comportements, ils sont protégés par d’autres humanoïdes qui ne veulent rien changer, et qui comme eux sont les véritables prédateurs de notre ère, à classer dans la catégorie des « hontes de l’humanité ».

Aux "People" bien-pensants qui interviennent auprès de la plupart des médias en nous donnant leur opinion ou des conseils sur une certaine façon de penser et d’agir, des éléments basés sur une idéologie en contradiction avec leurs comptes en banque, nous leur recommandons de rester dans leurs belles habitations payées par de confortables rémunérations et aides de l'état, afin de méditer sur leur aptitude à intervenir sur des sujets pour lesquels ils n'ont aucune affinité.

Bien sûr, cela vaut à l’international …

Lorsque les cyclistes du Tour de France doivent s’arrêter à un passage à niveau, ils en profitent pour aller se soulager au bord de la route.

Quelques jours après leur passage, les paysans ramassent les champignons qu’ils ont trouvés près des passages à niveau.

Pour avoir de très beaux champignons, il vous suffit d'avoir un jardin boisé sur la route du Tour de France, et d'y inviter les cyclistes pour une pause pipi.

Deux ou trois jours plus tard les gros champignons seront chez vous, grâce à une semence développée selon un procédé qui ne date pas d'hier...

Le traitement des informations par les médias devrait faire suite à leur collecte des faits et à leur analyse.

Leur connaissance de l'information devrait ensuite les amener à la valider puis à la diffuser en tenant compte de la vérité, mais certainement pas de rumeurs ou de mensonges colportés.

Alors que la vérité est vraie car vécue et corroborée avec la véritable information, la rumeur est aléatoire, arbitraire, aventureuse, et le mensonge n'est que la dissimulation de la vérité.

Les médias ne sont pas objectifs. Ils cherchent à divulguer les informations selon leurs propres orientations, selon le pouvoir des actionnaires, des annonceurs, du politique en place. Ce qui débouche inévitablement sur une spoliation de l’information.

Alors qu'auparavant il ne s'agissait que de leur incapacité à distinguer le vrai du faux par la quasi nullité de leurs connaissances sur l’information divulguée, le développement des moyens de communication ne les amène aujourd'hui qu'à diffuser une propagande qui descend du sommet de la pyramide.

L’affligeant résultat prolifère sur les chaînes de télévision et de radio, dans les journaux et sur internet.

"Le courage c'est de chercher la vérité et de la dire." (Jean Jaurès)