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La philosophie d'origine asiatique des 3 singes qui ne veulent rien dire, rien voir ni rien entendre n'est pas compatible avec le monde dans lequel nous vivons. Au contraire, toute vérité doit être dite, vue et entendue pour servir les générations qui se succèdent.

regard sur le monde

Publié le par Yann
Publié dans : #Regard sur le monde

Depuis des dizaines d’années le sport est un vaste entrepôt de drogues diverses afin de donner aux sportifs le maximum de chance pour qu’ils atteignent le sommet dans leur discipline.

Malgré les moyens apportés aux contrôles anti-dopage qui seraient de plus en plus performants, les contre-moyens sont eux aussi de plus en plus performants.

C’est une réalité, comme celle qui concerne les créations en protection des biens qui sont dès le lendemain obsolètes par découverte de contre-créations.

En plus du dopage qui permet aux sportifs peu scrupuleux d’atteindre plus ou moins leurs objectifs, avec ou sans l’aide de leur équipe dirigeante, ils bénéficient ces toutes dernières années d’un plus, l’assistanat lors des compétitions, différent selon la discipline exercée.

Cela avait débuté professionnellement dans la formule 1 avec l’apparition d’une assistance électronique à la conduite avec un contact permanent entre le pilote et son équipe pendant les courses.

Le même assistanat a suivi avec les coureurs cyclistes, suivis roue après roue par leurs dirigeants, et s’arrangeant gentiment entre eux pour aider un collègue au détriment de sa propre course.

Il en est de même pour tout ce qui court.

En athlétisme, premier sport touché par le dopage, les plus titrés dans une course de fond et de demi-fond bénéficient de « lièvres » pour les aider à maintenir un cap pendant certaines compétitions (heureusement, ces lièvres-là ont la chance de ne pas être abattus comme en Grande-Bretagne lorsqu’ils ne sont plus compétitifs …).

Dans le football, le basketball, le volleyball, le handball, les joueurs peuvent à peine se mouvoir sans que leurs coachs ne leur hurlent des onomatopées en permanence depuis les bords du terrain. Idem pour les sports de combat.

Dans le rugby, les joueurs bénéficient en direct de l’assistance de l’arbitre, qui par ses paroles lors des affrontements, leur demandent de ne pas reculer, ou d’avancer, ou de se mettre sur le côté, ceci afin de ne pas commettre de faute. D’habitude un arbitre est là pour sanctionner une faute, pas pour coacher les joueurs.

En tennis, dernière idée absurde de la FIT et de l’ATP (mais ce n’est pas la seule), les échanges verbaux entre le joueur et son coach pendant les matchs sont possibles du même côté du court, et doivent se limiter à des mots ou des phrases courtes. Ce qui signifie qu’à moins d’espions multilingues assermentés cachés près des loges des coachs, nul ne peut prétendre à savoir ce qu’ils se sont dits et surtout ce qu’a dit le coach à son joueur.

Tout cela laisse à penser qu’à cause du développement d’un assistanat sans pareil, ces sportifs apparaissent comme étant  devenus plus ou moins incapables, selon leur discipline, de performer selon leur propre condition physique, et cérébrale.

A quand les oreillettes dans les bonnets des nageurs ?

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Publié le par Tom Alaka
Publié dans : #Regard sur le monde

Que l'on prenne une association dite des droits de l'homme ou un média d'information, c'est toujours du méli-mélo ...

Dernier exemple en date, les titres d'un scoop d'Euronews :

Si l'on est pas complètement idiot en lisant ces lignes, on s'aperçoit que l'association Human Rights Watch déclare d'une part que ces "soldats ukrainiens avaient été abattus de sang froid", et d'autre part qu'elle "demande que ces exécutions présumées fassent l'objet d'une enquête pour crimes de guerre".

Bizarre, bizarre ... Pas complètement idiots, on se demande donc si ces pauvres soldats ukrainiens ont été réellement abattus de sang froid, ou si ce n'est qu'une présomption ?

Parce que ce n'est pas du tout le même discours ...

Et toujours pas complètement idiots, on pense alors que cette incohérence est de taille à alimenter une sacrée polémique en ce qui concerne l'orientation et l'objectivité de Human Rights Watch, et la déficience professionnelle de ce média d'information qu'est Euronews.

"S'il est bon de ne rien dire avant de réfléchir, il est encore plus utile de penser avant de parler".                                   (Citation de Pierre Dac modifiée pour la circonstance)

 

 

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Publié le par Tom Alaka
Publié dans : #Regard sur le monde

Après la culture Woke qui nous est arrivée récemment des États-Unis, voilà maintenant qu’arrive une nouvelle menace, « l’Eye Rape », en français « Le viol par le regard ».

Oui, vous avez bien lu, aux États-Unis une femme peut s’estimer être violée lorsqu’un homme la regarde.

Le droit des femmes il ne faut pas prendre cela à la légère, leurs revendications étant très souvent légitimes. Mais lorsqu’une telle atteinte envers la femme engendre une loi qui peut donner naissance à d'innombrables débordements, il y a de quoi rester coi !

Quoi que d’où cela soit sorti, rien n’étonne. Nous savons en effet que beaucoup de choses qui pourrissent notre vie en France et ailleurs ont pris naissance par là-bas. Cet « Eye Rape » va donc s’ajouter à cette triste liste en arrivant chez nous.

Et pour imaginer les conséquences de cette nouvelle menace grotesque, inénarrable, absurde, aberrante made in USA, prenons un exemple.

Je suis assis dans un restaurant à Los Angeles, agréablement accompagné. Assise à une table un peu plus loin se trouve une femme, quelconque, moins bien accompagnée, tant pis pour elle.

En regardant le menu, mon regard dérape furtivement vers cette femme, qui au même moment regarde de mon côté. Nos regards se croisent. Une seconde seulement, mais elle s’en rend compte. Ça y est, je m’aperçois qu’elle n’est pas contente du tout, c’est la merde !

Je l’aperçois appeler le patron auquel elle semble lui faire part du viol qu’elle aurait subi de ma part. Lorsque je le vois au téléphone, je le soupçonne d’appeler la police en bon américain qui connaît par cœur les centaines de lois de son pays.

Et effectivement, la police arrive cinq minutes plus tard pour nous auditionner la femme violée et moi-même le violeur présumé.

Et il faut établir un constat. Les policiers nous interrogent, et comme il y a une femme parmi eux, ça craint grave. Il ne faut surtout pas que je la regarde lorsqu’elle s’adresse à moi. Une femme-flic violée, le risque est terrible. Donc je regarde ailleurs. Mais comme il y a l’autre que j’aurais violée à côté de nous, je ne sais plus où mettre mes yeux. Deux viols consécutifs sur la même personne, ça craint encore plus grave. De plus, la serveuse est venue vers moi en me demandant de payer l’addition avant de me faire embarquer. Alors je la paie sans la regarder.

Tout cela me met très mal à l’aise, surtout vis-à-vis de la personne avec laquelle je partageai mon repas, qui pense avoir été trompée par un violeur et qui le transperce de son regard. Tiens ... Ça me donne une idée.

Pourquoi ne dirais-je pas aux policiers-mâles qu’en réalité c’est l’autre qui m’a regardé et qui m’a violé ? Quelle preuve a-t-elle pour asseoir sa plainte ? Moi, j’ai des preuves. Je ne suis pas laid, et je suis accompagné par une femme charmante, en l’occurrence et autre ma compagne. Alors que l’autre n’est pas vraiment jolie-jolie et que de plus elle est accompagnée par une sorte de Quasimodo. Donc qui aurait vraiment regardé l’autre, hein ?

Après une brève étude de mes arguments, les policiers prennent fait et cause pour moi (même la policière ...) et ils embarquent la femme violeuse avec son Quasimodo mécontent.

Cet exemple est offert à certaines femmes américaines et certaines autres bientôt. Des femmes dites violées par un simple regard complètement désintéressé, et qui en font tout un plat pour moins que rien, par simple schizophrénie. Il est aussi dédié aux faiseurs de ce genre de loi de merde qui déshumanise la tolérance dans notre société.

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Publié le par Daphné
Publié dans : #Regard sur le monde

Représentant environ 80% de la masse étudiante dans des universités comme Sciences-Po, la Sorbonne, Paris 8, Nanterre et autres … les étudiants révolutionnaires sèment le chaos.

Ce n'est pas nouveau, car ils y développent les vieilles doctrines de mai 68 par l’organisation de conférences, sittings, grèves, blocus, en parfaite adéquation avec les dogmes de la gauche, ancrée dans le monde universitaire en général.

Tout sujet est bon à mettre sur la table : la mauvaise histoire de France, le mauvais examen, le mauvais professeur, la mauvaise retraite, la mauvaise religion, la mauvaise droite, le capital…

Pendant ce temps les étudiants qui ne sont là que pour étudier ont de plus en plus de difficultés à suivre leurs cours, et plus grave encore sont souvent pris à partie pour le simple fait de ne pas partager une idéologie ou d'avoir une religion fétide.

La manipulation de ces jeunes par divers partis et syndicats de gauche, radicale ou non, est connue et ne date pas d'hier. Pourtant beaucoup d’entre eux n’entrent pas dans ces universités munis d’une idéologie rétrograde, mais ils y accèdent ensuite poussés par leurs éducateurs.

A un tel niveau d’études ne serait-il pas logique de penser que l'on peut choisir sa voie en toute indépendance sans aucune pression ?

S’il s’avère que non alors le constat est effarent, car 80% de la masse étudiante sabordant ces universités, il apparaît donc que ces individus n’ont aucune aptitude à vivre dans un monde de concurrence basé sur la créativité de chacun, ce qui semble assombrir sérieusement l’horizon.

Si l’on ajoute à cette situation révolutionnaire la position irresponsable - ou responsable, des présidents de ces universités et celle du gouvernement, le développement du wokisme et la pensée islamique qui y est infiltrée, alors l’horizon n’apparaît plus.

Pour sortir de cette situation, une solution serait d’y instaurer une méthode beaucoup plus radicale : un véritable régime communiste totalitaire ...

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Publié le par Tom Alaka
Publié dans : #Regard sur le monde

Il était humoriste, acteur, scénariste, réalisateur et producteur de télévision. 

Doté d’un talent inné à faire l’imbécile, capable de déhanchements sans retenue et de vulgarités sur scène, il était devenu clown, auteur populaire de sketches humoristiques,

Depuis 2015, il était l'acteur principal de « Serviteur du peuple » une série télévisée humoristique diffusée sur une chaîne ukrainienne dans laquelle il incarnait un professeur de lycée intègre accédant de façon inattendue à la présidence de l'Ukraine.

Grâce à ce rôle il avait acquis une importante popularité dans son pays.

Sans aucune expérience politique, il avait lancé un parti politique homonyme à sa série, puis s’était présenté à l'élection présidentielle de 2019.

Lors de la campagne atypique et minimaliste, il avait pris pour cible la corruption des élites et avait entretenu la confusion avec son rôle dans la série télévisée.

Il remporta l’élection présidentielle en avril 2019 avec 73,20% des voix, face au chef de l'État sortant, Petro Porochenko. 

Néanmoins, trois mois avant le début de la guerre déclenchée par la Russie, sa cote de popularité était tombée à 38 %.

De son élection en avril 2019 à l’invasion russe en février 2022, pourquoi une telle dégringolade en pourcentage de satisfaction des ukrainiens ?

La réponse se trouve dans le mot  « corruption ».

Zelensky, avant même d’accéder au pouvoir, étant entouré d’oligarques dont il se servait pour mener à bien son statut de clown ukrainien.

La corruption était telle que 90 % des entreprises publiques ukrainiennes étaient gérées par des oligarques qui lui étaient proches.

Un an après son élection, il avait fait approuver un nouveau gouvernement avec à sa tête Denys Schmigal, celui qui travaillait pour l’oligarque Rinat Akhmetov, l’homme le plus riche d’Ukraine qui règnait en maître sur une grosse partie de l'économie nationale, et en particulier dans sa région d'origine, le Donbass. On peut y comprendre là certains aspects de la politique de Zelensky avec cette région ...

Ihor Kolomoïsky était un oligarque qui lui était très proche, magnat des produits pétroliers. Celui-ci l’avait fait élire sans peine à la présidence, et parallèlement avait blanchi plus de 13 millions d’euros entre 2013 et 2020 en utilisant l’infrastructure des banques qu’il avait sous son contrôle.

Est-ce pour faire mine de s’attaquer aux oligarques du pays que Zelensky l’a fait arrêter en septembre 2023 pour fraude et blanchiment par les autorités qu’il avait mises en place ? Car si ce n'est une façon singulière de le remercier pour le soutien considérable qu’il avait eu de sa part dans le passé, peut-être que son emprisonnement aura lieu dans quelque villa retirée en bord de mer quelque part dans le monde.

Les oligarques ukrainiens sont ceux qu’il disait vouloir remplacer par des élus du peuple. Mais ils sont ceux qui n’ont jamais retiré leur main mise sur le pays, ceux qui sont intouchables parce qu’il a grand besoin de leurs fortunes colossales converties en euros et dollars entassées dans des coffres à l’étranger.

Un grand besoin pour se fournir en matériel de guerre, pour leurs aciéries à reconstruire, pour leurs innombrables champs de céréales qu’il faut remettre en état, pour la reconstruction des villes meurtries.

On n’efface pas trente années de démocratie corrompue avec une gomme à papier, il est donc manifeste que Zelensky ne peut pas gouverner sans eux.

Malgré toute cette gabegie à propos de son passé et de trois années de son pouvoir, il est devenu l’incarnation de la résistance de tout un pays au lendemain de l’invasion russe, plébiscité par 91% de ses habitants, dont le revenu moyen annuel est d’environ 3900 euros par an.

Cela confirme une fois de plus que la propagande est un élément maître dans la gestion des pauvres hères du monde et qu’elle engendre des désastres.

 

 

 

 

 

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