Après tant d’années d’un régime monarchique de l’Union Européenne, toujours en cours, nous avons deux avis à exprimer à l’attention des pays européens qui ne sont pas encore membres.
Le premier concerne les pays européens dont le PIB tient la route et qui souhaiteraient intégrer l’union européenne : pensez plutôt à autre chose afin d’éviter un désastre annoncé par les résultats des pays membres. Heureusement, à notre connaissance, ces pays n'existeraient plus.
Cet avis est également valable pour des pays européens dont le PIB n’est pas folichon, mais qui néanmoins possèdent certaines ressources qui peuvent leur permettre de le redresser : gardez la souveraineté de votre pays et vous échapperez au désastre annoncé précédemment.
Le deuxième avis, pas du tout objectif, concerne certains pays européens dont le PIB n’est pas du tout folichon, mais vraiment pas du tout : n’hésitez pas, inscrivez-vous sur la liste des prétendants si ce n’est déjà fait, l’UE fera tout pour vous intégrer dans leur administration bananière, au grand dam de ceux déjà en place.
Cette administration qui à l’origine, il y a très longtemps …, s’appuyait sur peu de pays dont le déficit public ne représentait pas ce qu’il est aujourd’hui.
Une administration qui manque de légitimité démocratique et de transparence, qui est bureaucratique et gaspilleuse, qui encourage des niveaux élevés d'immigration par la perception qu'elle a sur les flux migratoires, et qui appauvrit l’union par l’intégration outrancière de pays non solvables.
Quant à sa souveraineté qui porte atteinte à celle des pays membres, cette administration atteint son apogée avec l’ingérence intolérable qu’elle pratique lorsqu’elle « met en garde » tel ou tel autre chef d’état de ne pas se rendre dans un pays qu’elle considère comme opposé à ses règles. Que ce chef d’état ait son pays dans l’union ou non, ce qui est pire pour ce dernier car elle brandit alors le spectre de « attention, sinon tu risques d’avoir quelque soucis pour obtenir ton billet d’entrée chez nous … ».
Enfin, se retrancher derrière les avantages de l’introduction de l’euro dans les pays membres, il faut questionner leurs habitants pour savoir s’ils ont senti une augmentation de leur pouvoir d’achat ou une diminution de plus ou moins 20% lors du passage à la monnaie unique dans leur pays …
Dans un contexte général : si vous ne savez pas où aller, alors restez chez vous …