Chaque année en juillet aux iles Féroé, des centaines de dauphins sont sauvagement massacrés par adultes et enfants au nom d’un rite ancestral. Ce n’est pas surprenant, les îles Féroé sont rattachées au Danemark, un pays qui n’a jamais œuvré pour la cause animale.
Chaque année, en France comme en Espagne, des taureaux sont torturés puis mis à mort par des pantins multicolores, pour une même raison ancestrale. Les autorités se réfugient derrière la bannière d’une tradition qui ne peut être supprimée.
Chaque année en septembre, dans la ville espagnole de Torsedesillas, des centaines de personnes armés de lances et de couteaux courent derrière des taureaux jusqu’à les achever ensuite, au nom d’une tradition rendant hommage à … la vierge Marie. En Espagne on prie beaucoup, mais on organise des massacres d’animaux.
Chaque année en juin en Chine, des milliers de chiens et de chats sont tués après des jours de souffrance en captivité, pour les besoins d’un festival où il est coutumier d’en manger. Cette tradition n’est donc pas surprenante en Chine, où l’on mange de tout.
Ce n'est là qu'une infime dénonciation de la maltraitance des animaux, et des gens ne comprennent pas pourquoi ces horreurs existent encore de nos jours. Pourtant l’explication est simple : le monde s’est perdu dans les méandres de son histoire.
A la Préhistoire les humains tuaient les animaux pour se nourrir et se vêtir, c’était un besoin vital pour leur survie.
Depuis l’Antiquité jusqu’à ce jour des humanoïdes tuent des animaux pour se divertir, c’est un besoin vital pour leur existence.
Rien ne peut modifier leurs comportements, ils sont protégés par d’autres humanoïdes qui ne veulent rien changer, et qui comme eux sont les véritables prédateurs de notre ère, à classer dans la catégorie des « hontes de l’humanité ».